LA VILLA HORTICOLE

UN CONTEXTE RICHE ET VARIÉ :

Situé entre les communes de Champigny-sur-Marne et Joinville-le-Pont, le site bénéficie d’une position urbaine privilégiée, en entrée de ville. La parcelle du projet présente une morphologie en longueur, permettant de créer un lien entre la ville le long de l’Avenue Salengro et le Parc du Tremblay, élément majeur du territoire. L’objectif du projet consiste ainsi à faire de cette parcelle un élément connexe permettant de recréer du lien urbain mais également social. Il s’agit dès lors de tirer profit de l’emplacement privilégié du site pour lui redonner sa qualité à la fois urbaine et paysagère.

ALIGNEMENT ET RESPIRATIONS :

En retrouvant un alignement partiel, le projet vient s’ancrer le long de la rue Langevin tout en créant un jeu de retraits. Se créent alors un rythme et des respirations donnant vers le parc où naissent les espaces composant le futur jardin horticole.
L’implantation du projet génère un véritable dialogue entre le bâti et le parc, le paysage venant ainsi doucement s’insérer dans la parcelle. D’une part côté rue, les retraits distancient le projet de l’espace public, donnant de ce fait un caractère plus intimiste au rez-de-chaussée tout en reprenant les codes du pavillonnaire. D’autre part, la partie attenante au parc profite d’avancées qui tendent à atténuer la frontière entre les éléments bâtis et le végétal, renforçant la dialectique entre ces deux éléments.

VILLA HORTICOLE :

D’un point de vue formel le projet s’inspire et revisite les grands principes de la villa urbaine, apparue courant XIXème et offrant un rapport privilégié à la nature en ville. Cette dernière étant au cœur de la fabrication du nouveau quartier. La nature devient un élément essentiel et structurant du projet architectural. Le cadre paysager permet alors de valoriser l’environnement des habitants de ce nouveau bout de ville.
L’architecture ainsi présentée nous offre à la fois une forme d’homogénéité et de cohésion avec son environnement proche, tout en proposant une certaine diversité par le biais notamment de sa matérialité et colorimétrie. En restant dans un vocabulaire résidentiel, le bâti se pare de briques de zinc et d’enduit aux teintes et nuances variées qui s’entremêlent, renforçant la richesse et la diversité du projet.

Site : Champigny-sur-Marne
Surfaces : 38 660 m² SP

 

LA VILLA HORTICOLE

Site : Champigny-sur-Marne
Surfaces : 38 660 m² SP

UN CONTEXTE RICHE ET VARIÉ :

Situé entre les communes de Champigny-sur-Marne et Joinville-le-Pont, le site bénéficie d’une position urbaine privilégiée, en entrée de ville. La parcelle du projet présente une morphologie en longueur, permettant de créer un lien entre la ville le long de l’Avenue Salengro et le Parc du Tremblay, élément majeur du territoire. L’objectif du projet consiste ainsi à faire de cette parcelle un élément connexe permettant de recréer du lien urbain mais également social. Il s’agit dès lors de tirer profit de l’emplacement privilégié du site pour lui redonner sa qualité à la fois urbaine et paysagère.

ALIGNEMENT ET RESPIRATIONS :

En retrouvant un alignement partiel, le projet vient s’ancrer le long de la rue Langevin tout en créant un jeu de retraits. Se créent alors un rythme et des respirations donnant vers le parc où naissent les espaces composant le futur jardin horticole.
L’implantation du projet génère un véritable dialogue entre le bâti et le parc, le paysage venant ainsi doucement s’insérer dans la parcelle. D’une part côté rue, les retraits distancient le projet de l’espace public, donnant de ce fait un caractère plus intimiste au rez-de-chaussée tout en reprenant les codes du pavillonnaire. D’autre part, la partie attenante au parc profite d’avancées qui tendent à atténuer la frontière entre les éléments bâtis et le végétal, renforçant la dialectique entre ces deux éléments.

VILLA HORTICOLE :

D’un point de vue formel le projet s’inspire et revisite les grands principes de la villa urbaine, apparue courant XIXème et offrant un rapport privilégié à la nature en ville. Cette dernière étant au cœur de la fabrication du nouveau quartier. La nature devient un élément essentiel et structurant du projet architectural. Le cadre paysager permet alors de valoriser l’environnement des habitants de ce nouveau bout de ville.
L’architecture ainsi présentée nous offre à la fois une forme d’homogénéité et de cohésion avec son environnement proche, tout en proposant une certaine diversité par le biais notamment de sa matérialité et colorimétrie. En restant dans un vocabulaire résidentiel, le bâti se pare de briques de zinc et d’enduit aux teintes et nuances variées qui s’entremêlent, renforçant la richesse et la diversité du projet.